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Le conseil d’administration de l’Institut Custodes a pris acte, en début de semaine, de l’approbation d’un amendement constitutionnel par le parlement national de la République française. Suite à cette initiative parlementaire, la Constitution de la République sera modifiée pour ajouter la “liberté de recourir à I’IVG” au catalogue des droits de I’homme. Plus près de nous, le conseil prend note depuis plusieurs mois des tentatives des partis politiques Open VLD, PS et les verts de faire de l’avortement – c’est-à-dire le meurtre volontaire et délibéré d’un enfant à naître au stade du développement embryonnaire ou fœtal – un droit constitutionnel.

L’Institut Custodes rejette ces deux initiatives et appelle les représentants du peuple en France et en Belgique à respecter et à sauvegarder les droits de tous les enfants, y compris ceux qui dépendent encore de leur mère pour leur développement. En particulier:

(1) l’Institut rappelle aux représentants du peuple que la science positive nous enseigne que la vie commence au moment de la conception;

(2) l’Institut rappelle aux représentants du peuple que la peine de mort a été abolie ou fortement limitée dans son champ d’application par les instruments juridiques internationaux et nationaux, et qu’elle ne peut donc en aucun cas s’appliquer aux enfants à naître;

(3) l’Institut considère que la constitutionnalisation du meurtre non motivé et facilité par l’État d’enfants à naître n’est compatible ni avec les principes d’une procédure régulière ni avec la morale chrétienne;

(4) souligne que le caractère indésirable d’une grossesse n’est pas un motif légitime pour terminer la grossesse, c’est-à-dire pour tuer l’enfant à naître;

(5) insiste sur l’importance du soutien social et gouvernemental aux mères, en particulier à celles qui se trouvent dans des situations familiales, financières ou mentales difficiles; et

(6) appelle, de manière générale, à une réévaluation de la vie à naître et à un réexamen de la terminologie utilisée pour désigner les enfants dans le ventre de leur mère.

Le texte ci-dessus est une position de l’Institut Custodes.